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La Fête des lumières, c’est notre 14 -Juillet, mais en hiver ! », résume en s’amusant l’historien lyonnais Bruno Benoit. Pour la quinzième année consécutive, la ville de Lyon célèbre son 8 décembre – fête religieuse à l’origine –, non pas le temps d’un soir mais pendant quatre jours. Du 6 au 9 décembre, des centaines de milliers de personnes sont attendues pour déambuler dans les rues et découvrir gratuitement 80 sites mis en lumière par des artistes.
Du parc de la Tête-d’Or au nouveau quartier de la Confluence, et dans toute la presqu’île, des scénographies envahissent les jardins, les squares, les places, les façades, les berges du Rhône et de la Saône, les collines et les monuments historiques. Ce rendez-vous populaire et festif n’a plus grand-chose à voir avec ses origines religieuses et représente désormais le plus important événement touristique de la ville
Le Monde le 5 -12- 2013
La Fête des lumières, c’est notre 14 -Juillet, mais en hiver ! », résume en s’amusant l’historien lyonnais Bruno Benoit. Pour la quinzième année consécutive, la ville de Lyon célèbre son 8 décembre – fête religieuse à l’origine –, non pas le temps d’un soir mais pendant quatre jours. Du 6 au 9 décembre, des centaines de milliers de personnes sont attendues pour déambuler dans les rues et découvrir gratuitement 80 sites mis en lumière par des artistes.
Du parc de la Tête-d’Or au nouveau quartier de la Confluence, et dans toute la presqu’île, des scénographies envahissent les jardins, les squares, les places, les façades, les berges du Rhône et de la Saône, les collines et les monuments historiques. Ce rendez-vous populaire et festif n’a plus grand-chose à voir avec ses origines religieuses et représente désormais le plus important événement touristique de la ville
Le Monde le 5 -12- 2013
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